●~εїз~● BienvenuE Sur Mon BloG ●~εїз~●...Je m'appelle Ornwiwanne Nackchamnanne ,mon petit nom est "AeeDZe" et je suis étudiante de l'école Rachineeburana...

วันพฤหัสบดีที่ 12 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2552

♥..BD..♥ - Le Valentine




Histoires des beaucoup de Valentines

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Les avis diffèrent au sujet de qui la rue Valentine était. Les martyrologies tôt mentionnent au moins trois la rue Valentines sous la date du 14 février. On est un prêtre à Rome, des autres un évêque d'Interamna (maintenant Terni en Italie) et de l'autre ont habité et sont morts en Afrique. Beaucoup, cependant, sont de l'opinion que les deux premiers sont la même personne. On croit largement le, cependant, que le jour de Valentine a peut-être provenu du régal romain antique de Lupercalia. Un festival a été tenu le 15 février en l'honneur d'un de leurs dieux Lupercus, qui a été invité par le Romans pour écarter les menaces de ces loups féroces qui ont erré les forêts adjacentes. La veille du festival de Lupercalia, on a organisé une loterie d'amour dans laquelle les noms des filles romaines ont été écrits sur des glissades de papier et placés dans des fioles. Chaque jeune homme a alors dessiné une glissade et la fille dont le nom qu'il a sélectionné était vers le haut être son amoureux pendant l'année. Les vacances sont plus tard devenues le jour de Valentine après qu'un prêtre ait appelé Valentine. À ce moment-là quand le christianisme était toujours une nouvelle religion, Valentine était un prêtre à Rome. L'empereur puis Claudius II, avait publié un ordre interdisant les soldats romains de se marier ou devenir s'est engagé. L'empereur a cru qu'une fois qu'ils se mariaient, ses soldats voudraient rester à la maison plutôt que combattent ses guerres. Valentine défiant le décret de l'empereur et secrètement épousé les couples de jeunes. Il a été finalement arrêté, emprisonné, et le 14 février décapité, la veille de Lupercalia. Valentine a été à titre posthume appelé un saint. Pendant que le christianisme se développait plus fort à Rome, les prêtres ont déplacé les vacances de Lupercalia ou de ressort du 15 février au 14 février, c.-à-d., le jour de Valentine. Depuis lors les vacances ont commencé à honorer Saint Valentine au lieu de Lupercus.
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วันพฤหัสบดีที่ 22 มกราคม พ.ศ. 2552

♥..le conte..♥ - LE RENARD ET LES OIES

Le renard tomba un jour au beau milieu d'un troupeau d'oies bien grasses et bien dodues qui paissaient dans un champ. T éclata de rire et dit:
- On ne saurait arriver mieux à point! On croirait que vous m'avez appelé, mes jolies, à vous voir toutes là, bien gentiment, à attendre que je vous croque l'une après l'autre!
Tout le troupeau se mit à caqueter d'épouvante, tête dressée; ` et ce fut un concert de lamentations et de supplications pour obtenir vie sauve. Le renard ne se laissa point attendrir pour si peu.
- Il n'y a pas de grâce qui tienne, leur dit-il, et vous allez toutes mourir!Pour finir, il y eut une oie qui rassembla tout son courage et qui lui dit :
- Puisqu'il est dit que nous devons mourir toutes dans la fleur de notre jeunesse, malheureuses oies que nous sommes, tu nous accorderas au moins la grâce que personne n'oserait refuser à personne, et tu vas nous laisser faire notre prière afin que nous ne mourions pas en état de péché ! Après, nous nous alignerons en bon ordre, et tu n'auras qu'à choisir au fur et à mesure la plus grasse et la meilleure à ton goût..
- Oui, reconnut le renard, c'est une juste requête et une pieuse intention. Faites donc votre prière ; j'attendrai.
Alors la première commença avec ses ca-ca-ca une longue, mais vraiment longue litanie qui n'en finissait pas, et ca-ca-ca, et ca-ca-ca, si longue et si interminable que la deuxième n'attendit pas la fin pour prier à son tour; elle commença, elle aussi, ca-ca-ca, sa litanie interminable; et la troisième, à son tour, commença sans attendre son tour; puis la quatrième, et enfin toutes les autres, ca-ca-ca : toutes les oies du troupeau prièrent et caquetèrent ensemble la litanie des oies.
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(Et quand elles auront fini, on pourra vous raconter la fin du conte; mais pour le moment, elles sont toujours en train de prier.)

วันพฤหัสบดีที่ 15 มกราคม พ.ศ. 2552

♥..le conte..♥ - La clef d'or

Un hiver, comme le pays tout entier était recouvert de neige, on envoya un pauvre garçon chercher du bois. Avant même d'en avoir ramassé et d'en avoir chargé sa luge, il était déjà gelé comme une grive. Il se dit alors qu'avant de rentrer à la maison, il allait allumer un petit feu pour se réchauffer.Il écarta la neige et, en tâtonnant par terre, il trouva une petite clef d'or. « Une clef n'est jamais loin d'une serrure », se dit-il. Il commença à gratter de plus en plus profondément et, en effet, il découvrit une petite boîte en fer. « Pourvu que la clef puisse l'ouvrir, pensa-t- il, elle contient certainement des objets de grande valeur. »Il chercha le trou de la serrure mais ne le trouva pas ; il finit toutefois par le découvrir ; mais le trou était si petit que le garçon avait failli ne pas le voir.Il essaya la clef et, par bonheur, c'était la bonne. Il la fit tourner une fois - et maintenant, nous devons attendre qu'il ouvre complètement et qu'il soulève le couvercle ; ce n'est qu'après que nous saurons quels trésors il a trouvés dans la boîte.

วันพุธที่ 14 มกราคม พ.ศ. 2552

♥..le conte..♥ - Le petit chaperon rouge

Il était une fois une petite fille de village, la plus jolie qu'on eût su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien, que partout on l'appelait le petit chaperon rouge.

Un jour sa mère ayant cuit et fait des galettes, lui dit :
- va voir comme se porte ta mère-grand, car on m'a dit qu'elle était malade, porte-lui une galette et ce petit pot de beurre.
Le petit chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre village.

En passant dans un bois elle rencontra compère le loup, qui eut bien envie de la manger ; mais il n'osa, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt. Il lui demanda où elle allait ; la pauvre enfant, qui ne savait pas qu'il est dangereux de s'arrêter à écouter un loup, lui dit :
- je vais voir ma mère-grand, et lui porter une galette avec un petit pot de beurre que ma mère lui envoie.
- demeure-t-elle bien loin ? lui dit le loup.
- oh ! Oui, dit le petit chaperon rouge, c'est par-delà le moulin que vous voyez tout là-bas, là-bas, à la première maison du village.
- eh bien, dit le loup, je veux l'aller voir aussi ; je m'y en vais par ce chemin ici, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui plus tôt y sera.

Le loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la petite fille s'en alla par le chemin le plus long, s'amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, et à faire des bouquets des petites fleurs qu'elle rencontrait.
Le loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la mère-grand ; il heurte : toc, toc.
- qui est là ?
- c'est votre petite-fille le petit chaperon rouge (dit le loup, en contrefaisant sa voix) qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie.
La bonne mère grand, qui était dans son lit à cause qu'elle se trouvait un peu mal, lui cria :
- tire la chevillette, la bobinette cherra.

Le loup tira la chevillette et la porte s'ouvrit. Il se jeta sur la bonne femme, et la dévora en moins de rien ; car il y avait plus de trois jours qu'il n'avait mangé. Ensuite il ferma la porte, et s'alla coucher dans le lit de la mère grand, en attendant le petit chaperon rouge, qui quelque temps après vint heurter à la porte. Toc, toc.
- qui est là ?
Le petit chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du loup eut peur d'abord, mais croyant que sa mère-grand était enrhumée, répondit :
- C'est votre petite-fille le petit chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie.
Le loup lui cria en adoucissant un peu sa voix :
- tire la chevillette, la bobinette cherra.
Le petit chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s'ouvrit.

Le loup, la voyant entrer lui dit en se cachant dans le lit sous la couverture :
- Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moi.
Le petit chaperon rouge se déshabille, et va se mettre dans le lit, où elle fut bien étonnée de voir comment sa mère-grand était faite en son déshabillé. Elle lui dit :
- ma mère-grand, que vous avez de grands bras ?
- c'est pour mieux t'embrasser, ma fille.
- ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes ?
- c'est pour mieux courir, mon enfant.
- ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles?
- c'est pour mieux écouter, mon enfant.
- ma mère-grand, que vous avez de grands yeux ?
- c'est pour mieux voir, mon enfant.
- ma mère-grand, que vous avez de grandes dents ?
- c'est pour te manger. Et en disant ces mots, ce méchant loup se jeta sur le petit chaperon rouge, et la mangea.

Moralité :
On voit ici que de jeunes enfants, surtout de jeunes filles belles, bien faites, et gentilles, font très mal d'écouter toute sorte de gens, et que ce n'est pas chose étrange, s'il en est tant que le loup mange. Je dis le loup, car tous les loups ne sont pas de la même sorte ; il en est d'une humeur accorte, sans bruit, sans fiel et sans courroux, qui privés, complaisants et doux, suivent les jeunes demoiselles jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles ; mais hélas ! Qui ne sait que ces loups doucereux, de tous les loups sont les plus dangereux