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Le Livre Guinness des records est un livre de référence, publié une fois par an et recensant des records naturels et humains. La première édition date de 1955, commandée par la brasserie Guinness après un débat dans un pub concernant l'espèce d'oiseau la plus rapide que l'on chassait. On s'est en effet rendu compte qu'aucun livre de référence ne répondait à cette question. Il a été compilé par les jumeaux Rose et Norris McWhirter, athlètes et journalistes reconnus qui, à cette époque, avaient une agence de recherche de faits.
Quand le livre devint un succès surprise, beaucoup d'éditions supplémentaires furent imprimées, s'accordant finalement sur le rythme d'une par an, au mois d'octobre pour coller avec les fêtes de fin d'année. Les McWhirter continuèrent de le publier, ainsi que des livres liés, pendant de nombreuses années.
Depuis 2005 est organisée chaque 9 novembre la journée du Guinness World Records qui consiste à recenser et à réaliser des tentatives de record du monde.
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Napoléon Bonaparte[1] (né Napoleone Buonaparte le 15 août 1769 à Ajaccio, en Corse ; mort le 5 mai 1821 sur l'île Sainte-Hélène) fut général, Premier consul, puis empereur des Français. Il fut un conquérant de l'Europe continentale.Objet dès son vivant d'une légende noire comme d'une légende dorée, il a acquis une notoriété aujourd'hui universelle pour son génie militaire et politique, mais aussi pour son régime autoritaire, et pour ses incessantes campagnes souvent coûteuses, soldées par de lourdes défaites finales en Espagne, en Russie et à Waterloo, et par sa mort en exil à Sainte-Hélène sous la garde des Anglais.Général de la Révolution française à 24 ans, il accumule les victoires spectaculaires en Italie et pendant la campagne d'Égypte, puis prend le pouvoir par le coup d'État du 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799).Il dirige la France à partir de la fin de l’année 1799 ; il est d'abord Premier consul du 10 novembre 1799 au 18 mai 1804 puis Empereur des Français, sous le nom de Napoléon Ier, du 18 mai 1804 au 11 avril 1814, puis du 20 mars au 22 juin 1815. Il réorganise et réforme durablement l'État et la société. Il porte le territoire français à son extension maximale avec près de 130 départements, transformant Rome, Hambourg ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d’Italie du 17 mars 1805 au 11 avril 1814, mais encore médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la Confédération du Rhin de 1806 à 1813. Il conquiert et gouverne la majeure partie de l’Europe continentale et place les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes européens : Joseph sur celui de Naples puis d'Espagne, Jérôme sur celui de Westphalie, Louis sur celui de Hollande et son beau-frère Joachim Murat à Naples. Il crée aussi un grand-duché de Varsovie, sans oser restaurer formellement l'indépendance polonaise, et soumet à son influence des puissances vaincues telles que la Prusse et l'Autriche.
Napoléon tenta de mettre un terme à son profit à la série de guerres que menaient les monarchies européennes contre la France depuis 1792. Il conduisit les hommes de la Grande Armée, dont ses fidèles « grognards », du Nil et de l'Andalousie jusqu'à la ville de Moscou. Comme le note l'historien britannique Eric Hobsbawm, aucune armée n'était allée aussi loin depuis les Vikings ou les Mongols. Malgré de nombreuses victoires initiales face aux diverses coalitions montées et financées par la Grande-Bretagne (devenue le Royaume-Uni en 1801), l’épopée impériale prend fin en 1815 avec la défaite de Waterloo.
Peu d'hommes ont suscité autant de passions contradictoires que Napoléon Bonaparte. Selon les mots de l’historien Steven Englund : « le ton (…) qui convient le mieux pour parler de Napoléon serait (…) une admiration frisant l’étonnement et une désapprobation constante frisant la tristesse. »Toute une tradition romantique fait précocement de Napoléon l'archétype du grand homme appelé à bouleverser le monde. Élie Faure, dans son ouvrage Napoléon qui a inspiré Abel Gance, le compare à un prophète des temps modernes. D'autres auteurs tels Victor Hugo font du vaincu de Sainte-Hélène le Prométhée moderne. L'ombre de “Napoléon le Grand” plane sur de nombreux ouvrages de Balzac, Stendhal, Musset, mais aussi de Dostoïevski, de Tolstoï et de bien d'autres encore.
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ชื่อเดิมของสถานที่แห่งนี้คือ เนินเชโยต์ (Butte de Chaillot) ซึ่งต่อมามาริญีก็มีโครงการปรับแนวดินให้เสมอกัน (บริเวณเชโยต์) และกำลังปรับปรุงชองป์-เซลิเซ่อีกครั้งหนึ่ง ซึ่งโครงการนี้ได้เร็จลุล่วงในปี พ.ศ. 2320ชื่อ "ดวงดาว" (l'Étoile) เป็นชื่อเดิมของสถานที่แห่งนี้ สืบเนื่องมาจากถนนหลายสายที่มาบรรจบกันทำให้มีลักษณะเหมือนดวงดาว จึงเป็นที่มาของชื่อ "จัตุรัสแห่งดวงดาว" (Place de l'Étoile) ซึ่งในสมัยคริสต์ศตวรรษที่ 18 นั้น สถานที่แห่งนี้เป็นเพียงทางแยกล่าสัตว์เท่านั้น
การก่อสร้างประตูชัยฝรั่งเศสกลางจัตุรัสได้เสร็จสิ้นในปี พ.ศ. 2379 ในรัชสมัยพระเจ้าหลุยส์-ฟิลิปป์ที่ 1จัตุรัสแห่งดวงดาว (Place de l'Étoile) ได้ถูกเปลี่ยนชื่อเป็น จัตุรัสชาร์ลส์ เดอ โกลล์ (Place Charles de Gaulle) หลังจากการอสัญกรรมของประธานาธิบดีชาร์ลส์ เดอ โกลล์ ในปี พ.ศ. 2513 เพื่อเป็นการรำลึก แต่ถึงกระนั้นชื่อจัตุรัสแห่งดวงดาว (Place de l'Étoile) ก็ยังเป็นที่นิยมเรียกในปัจจุบัน
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Le nom originel est butte de Chaillot. Marigny eut le projet d'aplanir la butte en même temps qu'il faisait replanter en ligne les Champs-Élysées. Les travaux, considérables, furent terminés en 1777.
Le nom d'Étoile est ancien et indique une convergence de routes ; ce qui s'appelle aujourd'hui la place de l'Étoile est au XVIIIe siècle un carrefour de chasse.
En 1787, lors de la construction du mur des Fermiers généraux, la barrière de l'Étoile (encore appelée barrière de Neuilly) est aménagée sur les dessins de Claude Nicolas Ledoux pour encaisser l'octroi à l'entrée de Paris. Deux bâtiments encadraient la barrière et sont aujourd'hui disparus. La barrière marquait la limite de Paris et de son ancien (1795-1859) Ier arrondissement correspondant à l'actuel 8e arrondissement et à la partie ouest de l'actuel 1er arrondissement.
La construction au centre de la Place d'un arc de triomphe est achevée en 1836 sous le règne de Louis-Philippe Ier.
Sous le Second Empire, la Place est redessinée par l'architecte Jacques Hittorff, sous le contrôle du baron Haussmann, qui est préfet de la Seine à partir de 1853, et qui s'attache à réorganiser Paris. Par décret du 13 août 1854, l'espace entourant l'Arc et pris en partie sur un promenoir de Chaillot est dévolu à des hôtels particuliers qui subsistent encore aujourd'hui. Les jardins de ces hôtels sont tournés vers la place. Ces hôtels sont bien reconnaissables à leurs colonnes identiques. Sis « entre cour et jardin », ces hôtels comportent deux ailes encadrant la cour ouverte sur une rue circulaire aménagée à cette époque. C'est en corrélation avec le nom des avenues environnantes que les Parisiens leur donnèrent à l'époque le nom d'hôtels des Maréchaux.
La place de l'Étoile (ainsi que l'Arc de Triomphe) est partagée à la façon d'un gâteau entre les 8e, 16e et 17e arrondissements de Paris :
8e : secteur délimité par l'avenue de Wagram et l'avenue Marceau
16e : secteur délimité par l'avenue Marceau et l'avenue de la Grande Armée
17e : secteur délimité par l'avenue de la Grande Armée et l'avenue de Wagram
La place est entourée de deux rues formant un cercle autour d'elle : la rue de Presbourg et la rue de Tilsitt qui perpétuent deux succès diplomatiques de Napoléon et sont les appellations données en 1864 à la rue circulaire.
Prenant place entre l'avenue Kléber et l'avenue Victor-Hugo, la rue Lauriston constitue une treizième voie rayonnant autour de la Place mais elle s'arrête à la rue de Presbourg et ne vient donc pas troubler l'harmonie de la Place proprement dite.
Le pavage de la chausée forme une étoile :
des pavés d'une teinte plus foncée forment des triangles dont la base jouxte le terre-plein central et la pointe est dirigée vers chacun des hôtels des Maréchaux ;
de la même façon, des pavés d'une teinte tirant vers le rouge forment des triangles qui semblent réécraser les précédents et dont la pointe est dirigée vers les avenues qui convergent vers la place.
Un passage souterrain pour les automobiles permet de passer directement de l'avenue des Champs-Élysées à celle de la Grande Armée.
Un autre passage souterrain, le Passage du Souvenir, est réservé aux piétons, et relie le terre-plein où se trouve l'Arc de Triomphe aux trottoirs de l'avenue des Champs-Élysées et de l'avenue de la Grande Armée.